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some_thoughts

some_thoughts
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24 août 2008

...

L'enfance... l'adolescence...Le monde adulte...

Il y a plus ou moins de changements... en tant qu'adolescente moi même je trouve les conversation entre les gens de plus en plus insignifiante.
L'un parlera de l'économie alors que l'autre parlera des guerres dans le monde.
L'un débâtera de son opinion sur la politique sans même comprendre un seul mot de qu'il dit. Quant à l'autre se fermera sur son opinion personnel pour ne par créer polémie.
A quoi bon?

Dans ce monde de sourd, on pense et on dit, or on écoute pas. Quand on pense ce qu'on dit, on ne le sait pas.
Alors que lorsqu'on sait quelque chose, on se tait pour ne pas que les autres, borner sur leurs idées s'énervent.
Parler c'est absurde si on n'est pas écouté.
La communication entre nous est quasiment morte. Puisque on se ferme, puisqu'on ne sait pas, puisqu'on nous prête aucune attention véritable à nos pensées. A quoi bon tenter de converser?

Et on ose parler de la communication comme matière qu'on utilise pour ventre. La communication en entreprise... on parle pour vendre... Ceci est donc votre vision de la communication?
Pourquoi parler si cela est pour prendre...
Moi qui croyait que la parole était un moyen d'expression qui nous permettait de donner aux autres, par des mots de tendresse et non d'hypocrisie  et de mensonge. Avais je tort?
....
Suis je bête!

Le monde qui m'attend pour le reste de ma vie me dégoute..
J'ai malheureusement été forcé d'y mettre un pied sans pouvoir bouger, seulement observer et analyser..
L'autre pied s'avance un peu plus, poussé par cette société exigeante. Sans mon propre consentement, cette société a violé mon monde pour le déchirer afin que je survive dans le leurs.
Or je survis à moitié puisque chaque jours m'est insupportable, puisque chaque bouffer d'air est finalement toxique...
Je ne sais pas combien de temps je pourrais tenir, quelques semaines... quelques années... que sais-je?

J'attends.... car mes actes ne seront jamais dirigé que par la pression qui m'entoure


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22 août 2008

dialogue

612789_SadAngelle noir occupe cette pièce au beau milieu de l'après-midi

"il fait sombre dis-moi, pourquoi cela? dit l'étranger

- je ne sais pas, mais cela dure depuis des mois. répondis je

-Quelle est cette masse ainsi allongée? on dirait que la créature dort profondément. repris l'étranger

- Ceci est mon corps et celui ci ne dormait plus par ses tourments. Alors le jour où il trouva le sommeil, ce fût par fatigue, non pas par choix. L'énergie ne lui reviendra plus, à force de se battre contre ses propres ténèbres, son épuisement est tel qu'il dormira ainsi éternellement.

- Mais le corps ne se bat que contre son esprit...

-Alors cela voudrais dire que j'ai gagné la guerre? Suis-je la seule fautive de ces souffrances qui l'ont pris? Je ne sais que penser mais ma propre souffrance l'a assassiné alors qu'il luttait à mes côté. Et le corps se battait au noms de l'esprit. Maintenant l'obscurité règne dans cette prison infernale où s'échapper m'est interdit. expliquais-je

- Pourquoi ne luttiez vous pas seul contre ces souffrances? N'avez vous point d'honneur pour ne pas perdre? Votre penser est une arme redoutable nul autre explication à ce meurtre horrifiant. Conclu l'étranger.

- Parlez moi alors de ce meurtre dont vous m'accuser à loisir. Dites moi que cette mort vient de moi et non pas de la cause même de ces souffrances. La possession de souffrances est illégal dans ce monde de jugements et d'idées reçu. Ne connaissez vous donc pas l'entière information, n'est elle pas dans vos haut bâtiment que vous construisez par l'oeuvre des jugements injuste et ainsi vous prônez la justice. N'avez vous pas honte donc d'infliger d'autres souffrances qui commettront d'autres assassinats? Jugez moi à si vous le désirez, punissez moi, flagellez moi et brûlez moi pour purifier ces souffrances dont vous ne vous souciez gère. Ôtez la vie à ceux qui sont déjà mort, couper la tête du monstre agonisant. Dis je

- Vous payerez pour vos grossièreté. Personne n'a le droit de mépriser le pouvoir du destin. Vous souffrirez éternellement puisque vous nous refusez la félicité que les non-pensants obtiennent. Hantez donc ces murs où vous êtes enfermée qui sens la pourriture nauséabonde de votre crime. Et ce, indéfiniment. Cria l'étranger.

- Cette odeur fétide est la votre et celle de vos jugements. Vos propres pêchez son ignoré que par vous même car la souffrance est née de votre ignorance et perpétuée par vos actes subits. Laissez donc ce corps qui fût le mien, votre présence le pourri un peu plus encore à chaque seconde. Oubliez donc mes ténèbre pour voir les vôtres. Osez affrontez les causes pour ce que depuis des siècle ne sont que du sang....

L'étranger parti ainsi tout en maudissant l'esprit torturé.

17 août 2008

obsession

larme

(Le soleil se couche,

Il fait froid aujourd'hui.

La magie du nord allez vous me dire...

Une rue déserte un jour de dimanche.)

Des vélos passent,

Le bruit se répand et je me lasse.

Peut être me lasserai-je de cette solitude forcé?

Ou peut être est-ce la faute mes propres pensées.

Je me bat continuellement contre un ennemi

L'ennemi que j'ignore mais que j'ai admis.

Je me bat pour tout est n'importe quoi

Je me bat surtout contre ce que je ne vois pas.

Aujourd'hui, le silence continuelle et l'obscurité

D'une journée menaçant ma prospérité

Me rend moi même l'ennemi de mes pensées

Et de ma liberté par rapport à l'individualité.

Quelles individualités?

Celle que les autres aiment pour juger.

Juger sans connaître les circonstance,

Mais mon jugement reste en instance

Puisque mon choix est encore hésitant

Puisque je renie encore ces instants

Puisque j'ai peur tout simplement.

Je te ferais du mal

Pour ne plus avoir mal.

Je te ferais du mal

Car tu m'a imposé tout ce mal.

Je te ferais du mal

Bien que je suis sale

Ta faute me rend coupable

De ces peurs insupportables.

Je voudrai tant te protéger

En espérant te sauver.

Mais le bourreau doit payer

Tu dois donc être menacé

Je voudrai tant oublier

Ces choses... T'oublier.

Je n'ai pas le choix

Car seul ma voix

Pourra prévenir tes proies

Pour ne pas qu'elles souffrent

Comme dans ce gouffre

Ou tu m'as jeté sans comprendre

Tout ce qu'en 5 minutes tu as pu prendre.

Je fais des rimes

Pour parler de ton crime

Mais saches que je risque de te détruire

Dans un sens je voudrais te voir fuir...

Je suis idiote et je m'inquiète pour toi

Sûrement par pitié de ce qu'il y a en toi.

Mais tout dois s'arrêter,

Mais toi, tu ne peux pas arrêter.

Alors je dois les sauver

Et surtout je dois me sauver.

J'ai peur

Je pleure

Je meurs...

17 août 2008

Prendre la route.

  La vie, c'est une long route que de nombreuses personnes empruntent. Elles commencent par regarder le paysage et observent, elles rêvassent et s'abandonnent à l'imagination. " A quoi ressemblerait ce paysage aux quatre saisons?" c'est le rêve de l'enfance...

  Elles rêvent de ce paysage mais sur une route, on se doit d'avancer, alors ce paysage dont elles rêvaient ne sera plus le même. Il changera à chaque pas, mais plus on marche sur cette route, plus le temps passent. Alors la nuit arrive.. les pauvres, elles ont froid, elles ne voient plus les différentes couleurs et parfois la fatigue les gagnent. Alors ces personnes tentent de s'arrêter un instant. Parfois on arrête de marcher et là, on a encore plus froid. On est tout simplement perdu dans l'ombre de la nuit. Ainsi parlons nous de l'adolescence.

  Puis, le jour se lève, on se rend compte que sur cette route, nous ne sommes pas seuls, d'autres personnes marchent, des chemins se croisent. D'autres vies existent. On rencontre certaines personnes, on marche avec elles un bout de chemin, puis le prochains croisement les séparrera... entre temps ces personnes nous aurons appris de nouvelles choses qui nous aiderons à marcher sans se fatiguer d'avantage, par exemple. Alors là, on dit qu'on prend de la maturité. Et on avance dans le monde de l'adulte.

  Entre temps, on aura oublier de regarder le paysage, puisque de chemin deviens de plus en plus "banal" et plus personne ne sait faire la difference entre la chaleur des rayons de soleil et le vent glacé de la nuit. Tout est devenu "normal" et plus rien dans ce paysage ne semble intéressant pour s'arrêter et l'observer. Alors on augmente notre vitesse de marche, puisque les personnes qui marchent derniers nous, ne s'arrêteront jamais pour ne éviter de nous piétiner. On ne marche plus, on cours. On a du mal à respirer, on fatigue fortement. On s'use. Voici le passage de l'adulte à la vieillesse.

Un jour, on marchera, complètement épuisé. Et ce jour là, on ne serra même plus capable de voir la pierre qui nous fera trébucher notre chemin s'arrêtera lorsque nous tomberons de la falaise. Ainsi nous voici dans le passage de la vie à celui de la mort.

DSCF0242

Cependant, il ne vaut pas oublier que ceux qui marchaient dernier nous auront le droit à la pierre qui nous fait trébucher. Qu'eux aussi seront fatiguée un jour. Car la vie, continu. Car le chemins ne vieilli jamais et que des millions d'autre personne emprunterons l'une de ces routes.

17 août 2008

cet ange n'est pas déchu

DSCF0235

On aurait pu me nommée paralytique
Avant ce jour où mon mutisme mélancolique
Fût soigné par l'ange aimant dit déchu.
Ô douce volupté dans un coeur pensant être perdu!


Enlèves-moi mon ange,
Au milieu de ces entrailles infernaux.
Serres-moi mon ange,
Aides-moi à broyer la cause de ces maux.


Il y a trop de questions aux réponses erronées
Que l'ignorante société ne cesse de censurer.
Ô coeurs damnés par la nouvelle prophétie!
Leurs démons ne sont que vraisemblance et ironie,.

Me voici noyée dans leurs sarcasmes paradoxaux.
Ils pensent que nul ne peut se battre contre leurs masses
Car seul les piranhas peuvent nager en ces eaux
Et pour eux nous ne sommes que des carcasses.


Emmènes-moi mon ange,
Loin de ces juges amateurs et leurs tribunaux.
Regardes moi bel ange,
J'avoue ce qu'ils appellent "crime" sans honte de mes mots.

c'était mon dernier poème en date

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